Ousmane Sonko : la ligne rouge du respect

Par Mamadou Sèye

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a fait un choix clair : Ousmane Sonko est au cœur du dispositif de rupture. Il bénéficie de la confiance la plus totale. Dès lors, nul ne peut se permettre de le prendre pour cible sans s’exposer à une réponse de l’Etat. Le respect n’est pas négociable.


Depuis le 2 avril 2024, le Sénégal a changé de cap. La gouvernance actuelle repose sur un tandem solide, né dans l’épreuve : Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko. Ce duo, formé dans la douleur et l’injustice, avance avec une seule boussole : l’intérêt supérieur de la Nation.

Ousmane Sonko n’est pas un Premier ministre parmi d’autres. Il est le maître d’œuvre de la rupture, l’artisan de la dynamique gouvernementale, le porteur des réformes les plus structurantes. A ce titre, il bénéficie d’une carte blanche complète dans la conduite de l’action gouvernementale, y compris sur des dossiers stratégiques : formation d’un nouveau gouvernement, pilotage des chantiers prioritaires, coordination de l’action publique dans les secteurs régaliens. Et ce n’est pas un signe de faiblesse de la part du Président. C’est un signe de lucidité et de loyauté.

Dans ce contexte, nul ne peut, impunément, se permettre de manquer de respect à Ousmane Sonko. Car le respect qui lui est dû dépasse sa personne. Il symbolise un moment historique, un choix populaire, une exigence de justice, et une promesse de redressement national.

Ceux qui s’acharnent à l’attaquer, à le réduire, à l’isoler, se trompent de cible et de moment. Le Président Diomaye Faye ne cautionnera jamais la moindre tentative de déstabilisation morale, politique ou symbolique dirigée contre Sonko. Et ceux qui s’y aventurent devront en assumer les conséquences. Car le socle de l’équilibre actuel, c’est justement cette entente inébranlable entre les deux hommes. Elle n’est ni feinte, ni stratégique. Elle est profonde, assumée, durable.

Ceux qui rêvaient de rivalités internes ou d’un effacement progressif du Premier ministre devront revoir leur copie. Il n’y aura pas d’espace pour l’ambiguïté. L’Etat, dans sa nouvelle configuration, fonctionne avec des lignes claires, des rôles nets, et une hiérarchie fondée sur la confiance.

S’attaquer à Sonko, c’est donc défier cet équilibre. C’est s’en prendre au cœur de la refondation en cours. Et cela ne passera pas.

L’avenir du Sénégal se joue aujourd’hui sur la clarté des positions. Et celle-ci est limpide :
Ousmane Sonko est respecté, parce qu’il est indispensable.
Et il est indispensable, parce qu’il a sauvé ce pays.


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